Première visite à l'hôpital...

Aujourd'hui, c'est moi l'agent qui écrira une petite page de notre histoire, à la demande de mon amoureuse. Dison que la nuit dernière n'a pas été de tout repos pour les parents et également pour la pauvre Léonie. Maelly, elle, n'a pas été tiré de son sommeil très longtemps...

Les jumelles se sortent tranquilement d'un très gros rhume qu'elles ont attrappés à une journée d'intervale l'une de l'autre. Hier, Léonie était dans un restant de rume avec seulement la toux et le manque d'apétit qui persistait. Vient l'heure du bain et ensuite le dodo vers les 18h30. Moi et maman nous sommes installés devant Cruising Bar 2, que nous avions loués pour l'occasion. Et oui, nous avions une soirée ensemble tout les deux, à la maison.

Voilà que débute le cauchemard... Je vais vous éparnier les détails, mais dison que mademoiselle Léonie ne voulait pas dormir. Icitt... on pleure et on pleure sans arrêt. On ne s'en fait pas trop avec Léonie parce qu'elle à érité de je ne sais qui, la capacité de tout amplifier lorsque quelque chose la dérange. Nous avons donc pensé qu'il s'agissait de caprices de petit bébé et l'avons laissé pleurer toute seule en attendant qu'elle arrête. Contrairement à l'habitude dans une telle situation, Léonie à persisté...

Papa était exaspéré et ne pensait qu'à une chose, dormir. Il faut dire que de par les expériences que j'ai à vivre jour après jour, il en faut beaucoup plus que des pleurs pour activer mon alarme interne. Maman, elle, ne pouvait laisser saigner son coeur de mère et à tout tenté pour endormir notre petit trésor qui commençait tranquilement à m'inquiéter moi aussi. Dans les bras, assis, couché dans le même lit, donner de l'eau, du lait, flatter les cheveux, brancher l'humidificateur etc... rien n'a fonctionné.

À 01h00 du matin, le coeur de papa s'est également mis à saigner et j'ai dis à maman, habille la petite je l'emmène à l'Hôpital. Après tout, un bébé qui pleur depuis 6 heures et qui ne présente aucun signes de quoi que ce soit à forcément une raison de pleurer et seul un médecin pourra le découvrir.

Maman est donc demeuré à la maison avec Maelly et à pus dormir un peu car elle travaillait ce matin. Papa à emmené Léonie à l'hôpital , par un temps glacial d'environ -1000 degré en espérant qu'il n'y aurait pas trop de malades à l'urgence. Heureusement, il n'y avait qu'une dizaine de malades et un pouelle. Je veux dire par pouelle le gars pas trop présent d'esprit qui est passé au triage juste avant moi et qui empestait le pot dans l'urgence au grand complet. Le gars qui trouvait qu'en plus de se polluer la santé, il pourrait venir polluer notre air avec son odeur de p'tit criminel à 5$. Entk... sa c'est une autre histoire et ma famille passe bien au dessus de ça!! Nous avons passé le triage, parlé avec la gentille dame de l'accueil et sommes retournés nous assoir dans la salle d'attente, pour combien de temps...

5 minutes plus tard, '' Léonie P. est demandé dans la sale 143''. Parle moi de sa du service. Léonie n'a que 14 mois, elle à mal et ne peut nous exprimer pourquoi. Elle est la seule dans la salle d'atente à qui je ne peux expliquer qu'elle doit demeurer forte et que d'ici 6 ou 7 heures un médecin viendra la voir. Quelqu'un à compris ce détail et je l'en remercie... ( un conseil, les gens qui travaillent dans les Hôpitaux n'ont pas la vie facile, travaillent sur des chiffres, sont toujours au minimum staff, passent leur vie avec des gens malades, cotoient la mort tout les jours et continuent de travailler car ils ont ça dans le sang et savent qu'il faut bien que quelqu'un le fasse ce métier... Est-ce si difficile d'être polis avec eux, de les vouvoyers, de les remercier pour leur bon service, de les appeler docteur bref, de les respecter pour ce qu'ils sont. Ils ne vous doivent rien et ne sont pas oubligé à vous mais seront toujours là pour vous. C'est peut être pour cette raison que ma fille à été répondu rapidement hier et par du personnel aussi sympathiques et dévoués... parce que je sais parfaitement ce qu'ils doivent vivre au quotidien, je le vis également, et je ne répète pas les gestes que je n'aime pas).

Je vais terminer mon histoire, il faut me retirer le clavier parce que je ne sais plus m'arrêter. Le docteur à fait plusieurs tests et prélèvements pour en venir à la conclusion que notre petite Léonie était en bonne santé. Peut être une petite Laryngite mais c'est qu'elle à trop pleuré et se sort d'un rhume, ce qui a probablement érité sa petite gorge. Plus de peur que de mal, mais enfin rassurés!! À 4h30 j'étais de retour à la maison dans le même froit glacial de -1000 degré, et Léonie retrouvait son lit pour 3 heures de dodo sans interruption.

P.S.: Je n'ai pas pus m'empêcher de prendre, avec mon cellulaire, une photo de mon petit ange, en jaquette d'hôpital, qui attendait le docteur avec la patience d'une grande fille, dans son grand lit.